Milton Erickson
Milton Erickson est né en 1901, dans l’Etat du Nevada, d’un père originaire de l’Europe du Nord et d’une mère possédant un ancêtre indien. Il était encore adolescent quand ses parents partirent s’installer dans une ferme du Wisconsin.
Daltonien, dyslexique, ne parvenant alors ni à reconnaître, ni à reproduire un rythme, il avait déjà à l’époque fait preuve de l’extraordinaire ingéniosité humaine qui le caractérisa toute sa vie, en ayant réussi de lui-même à mettre en place des apprentissages lui permettant de pallier ses nombreux handicaps.
En 1919, une très grave attaque de poliomyélite le cloua d’abord dans son lit, puis ensuite sur un fauteuil de paraplégique : à 18 ans, il ne pouvait plus bouger que les lèvres et les yeux.
Il mit alors à profit ses longs mois d’immobilisation forcée pour développer et affiner ce qu’il appellera plus tard « l’auto-hypnose ». Aiguisant considérablement son sens de l’observation – en analysant par exemple, pendant de longues heures les mouvements de sa petite sœur en train de faire ses premiers pas – et, consacrant une volonté inépuisable et une inventivité immense au service de sa guérison, il retrouve en moins d’un an, une totale motricité.
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Il avait mis au point, écrivit sa femme, citée par Jeffrey Zeig (biographe de Milton Erickson), une méthode de concentration mentale sur un mouvement minimal, recommençant sans cesse mentalement ce même mouvement. Elle raconte aussi comment il réussit à quitter ses béquilles pour la bicyclette ou le canoë, ou encore à lutter contre l’atrophie musculaire, en s’astreignant à des exercices quotidiens.
Ayant choisi de suivre des études de médecine et de psychiatrie, il entend parler pour la première fois, en 1923, de l’hypnose. Il se détache toutefois très vite des conceptions de l’hypnose professées à l’université. Instruit par son expérience personnelle, il mène ses propres recherches et expérimentations dans ce domaine – travail qu’il poursuivra jusqu’à sa mort.
Il se maria une première fois à 23 ans, divorça après dix ans de vie commune en obtenant la garde de ses trois enfants et se remaria en 1936, alors âgé de 35 ans, avec Elisabeth qui sera auprès de lui – sa plus proche collaboratrice – toute sa vie, et qui lui donnera cinq enfants.
Il pratique et enseigne la psychiatrie dans le Massachussetts, puis dans le Michigan, avant de s’installer définitivement dans l’Arizona, à Phoenix, dont le climat extrêmement sec lui était favorable. Là, il s’installe à son compte, ce qui lui permet d’organiser son temps et de donner davantage cours à sa créativité, malgré ses nombreux problèmes de santé en aggravation parfois violente et douloureuse (tassement de vertèbres, arthrite). Il sera finalement contraint à se mouvoir sur un fauteuil roulant pendant les treize dernières années de sa vie.
Renommé tant comme thérapeute, qu’enseignant, formateur et écrivain, il contribua, par une coopération importante avec Gregory Bateson, dont il était l’ami, à la création de l’Ecole de Palo Alto. Celle-ci, par ricochet, fit connaître encore davantage les travaux qu’il menait sur la communication et le changement.
Malgré ses nombreux handicaps physiques, Milton Erickson multiplia les voyages, les conférences et les séminaires. C’était un travailleur infatigable, un maître tout aussi rigoureux que bienveillant, un père attentif et un grand-père émerveillé.
Lorsqu’il meurt en 1980, il a 78 ans et rayonne toujours d’enthousiasme et d’optimisme. Jeffrey Zeig dit de lui qu’en dépit de ses terribles problèmes physiques, Erickson était l’une des personnes les plus débordantes de joie de vivre qu’il soit possible de rencontrer.
Cet homme qui consacra la presque totalité de sa vie à chercher comment mieux aider les gens est resté un modèle pour beaucoup de personnes dans le monde entier.
Fondateur de la Société Américaine d’Hypnose Clinique, auteur de nombreux ouvrages, Milton Erickson avait acquis une notoriété mondiale dans le domaine de l’hypnose et plus généralement dans celui de la psychothérapie.
Personnalité à proprement parler géniale et unique, Milton Erickson a toujours valorisé l’originalité et l’indépendance, des idées comme des pratiques. Il n’eut jamais le désir de fonder une Ecole ou un mouvement, car il faisait confiance à l’intuition humaine pour la comprimer dans des cadres rigides. Tous ceux qui l’ont côtoyé (amis, proches, collègues, élèves, patients, parents, etc.) ont pu apprécier son immense amour de la vie et des hommes, sa confiance illimitée dans le potentiel de chaque être humain. C’est cette composante fondamentale que doivent transmettre les personnes qui pratiquent l’hypnose ericksonienne.
Le praticien ericksonien
Un des facteurs essentiels qui constitue l’originalité de Milton Erickson est incontestablement l’orientation de son travail. Il a mis en œuvre une démarche allégée des théories et des dogmes, et dirigée vers la solution. Bien qu’il ait fait ses études universitaires dans un contexte où la psychanalyse constituait la référence universelle (en psychothérapie notamment), il n’a cessé d’imaginer des techniques permettant d’éviter l’enfermement dans des théories psychopathologiques.
Son objectif consistait à amener la personne qu’il accompagnait à vivre le plus rapidement possible une existence autonome en s’appuyant sur des ressources qui lui étaient propres et à écourter autant que faire se peut le temps de la thérapie.
L’idée fondamentale qui a guidé Milton Erickson était la réponse à la question suivante : comment amener un changement durable ?
C’est ainsi qu’en délaissant le pourquoi, il est arrivé à remplacer la thérapie explicative par la thérapie guidée par la solution.
Ses raisons nous paraissent maintenant évidentes : si chaque théorie peut contenir une part de vérité, aucune ne peut prétendre constituer l’Unique Vérité, puisque toutes sont fondées sur des hypothèses. Milton Erickson s’opposait aux interprétations et aux explications mécaniques, machinales et rigides fournies par des grilles de lecture prédéfinies : il les jugeait inadaptées à l’immense richesse de la personnalité humaine et à son infinie variété. Le praticien ericksonien oriente ses interventions sur un nouveau type de prise de conscience : ce que chaque individu est capable de faire pour lui-même.
Il s’agit d’un déplacement du pouvoir du praticien vers son client.
Bien que Milton Erickson n’ait jamais mis en place une théorie structurée, il n’en demeure pas moins que le praticien ericksonien est censé avoir intégré a minima certains principes.
Il est possible en particulier d’énumérer 9 grands principes.
1 – Chaque individu est unique, tout comme sa vision du monde : il convient donc d’imaginer une approche « sur mesure ». Le praticien doit pouvoir s’adapter à chaque personne qu’il accompagne.
2 – Tout comportement répond à un objectif : nous ne faisons rien pour rien, par pur hasard. Chaque comportement répond à une fonction précise, parfois inconsciente. Tout comportement a eu une utilité à un moment donné (notion d’intention positive).
3 – Chaque individu possède en lui les ressources nécessaires pour atteindre ses objectifs désirés : ressources conscientes et inconscientes (à mobiliser, réactiver).
4 – La communication existe à un double niveau : conscient et inconscient : il est important que le praticien sache à quel niveau de la personne il s’adresse (la notion de congruence découle directement de ce double niveau : elle découle de la cohérence entre les trois formes de communication, verbale, para verbale et non verbale).
5 – On ne peut pas ne pas influencer, tout comme on ne peut pas ne pas communiquer.
6 – Préserver l’écologie de la personne, ce qui doit être un principe de base de tout travail d’accompagnement (thérapeutique, développement personnel, coaching, artistique, sportif, etc.) : il s’agit de s’assurer que l’objectif de changement désiré par la personne est bon pour elle à tous les niveaux (qu’il ne présente pas « d’effets secondaires indésirables » de nature à remettre en cause le bien-fondé de l’objectif lui-même).
7 – La vérité de la personne est la seule qui compte : attitude dite de « la page blanche ». Le praticien ericksonien se doit d’accepter la personne telle qu’elle est, il ne s’agit pas de la modifier, mais de l’accompagner pour qu’elle utilise ses propres capacités de changement, dans le sens de ses objectifs désirés.
8 – Tout l’accompagnement est centré sur le changement (désiré) et non vers le pourquoi (de la situation actuelle) : il n’est absolument pas nécessaire de « connaître » les origines d’une situation non désirée pour la faire évoluer (en état modifié de conscience), car l’inconscient de la personne (qui « connaît » les origines à un autre niveau) peut mobiliser toutes les ressources utiles et nécessaires au changement désiré.
9 – L’hypnose est un art : comme tout art, il nécessite l’apprentissage d’une technique, mais cela ne suffit pas. Le praticien ericksonien doit faire preuve de créativité, de flexibilité, d’humour, etc.
L’Hypnose ou Etat Modifié de Conscience
Il existe aujourd’hui une définition de l’hypnose acceptée par la très grande majorité des praticiens professionnels (en hypnose) occidentaux, selon laquelle l’hypnose est un état modifié de conscience (EMC), fondé sur le principe de la dissociation. Dissociation entre la partie consciente et la partie inconsciente, ces deux instances travaillant parallèlement, mais avec des processus différents.
Notons ici que l’EMC conduit très souvent à un phénomène de distorsion du temps « subjectif » évalué par la personne, une fois qu’elle est revenue à l’état ordinaire de conscience (EOC), encore appelé état de veille.
Cet EMC qualifie certains types d’expériences au cours desquelles nous pouvons avoir l’impression que notre conscience ne fonctionne pas comme d’habitude et que notre perception de l’environnement et de nous-même sont différentes. François Roustang le qualifie de veille paradoxale, expliquant cette appellation par le fait que cet état associe à la fois les traits caractéristiques de l’état de veille (état « normal » quand on est réveillé) – la vigilance du sujet est présente – et ceux du sommeil paradoxal, au cours duquel notre imaginaire est totalement libéré.
Milton Erickson fut le premier à affirmer que nous connaissons tous l’état hypnotique (EMC) pour la bonne et simple raison qu’il fait partie de notre vie de tous les jours. Il parlait de transe quotidienne. Il suffit d’être quelque part, de fermer les yeux et de penser à tout autre chose, et nous sommes de fait dans un EMC avec une dissociation corps / esprit. Il en va de même, lorsque nous sommes captivés par la lecture d’un livre ou par un film : notre corps est à un endroit, mais notre esprit est ailleurs, dans un autre environnement mental. On peut également évoquer les amnésies passagères durant une journée, une rêverie devant un paysage qui défile devant soi (par exemple dans un train) ou en voiture à l’arrêt en attendant que le feu qui passe au vert.
D’une manière générale, nous vivons tous cet état hypnotique avec des variations d’intensité personnelles qui se produisent environ toutes les 90 minutes en raison de nos rythmes biologiques (rythmes ultradiens).
L’état hypnotique est donc un état courant que tout le monde connaît plusieurs fois par jour à différentes occasions propres à chacun : un étudiant qui s’évade dans sa tête en écoutant un cours, quelqu’un qui cherche ses lunettes qui sont sur son nez, ne pas voir le temps passer dans tel ou tel moment (sous la douche, devant un paysage, etc.), marcher machinalement sans se soucier de l’itinéraire en pensant à tout autre chose, avoir une amnésie passagère lors d’une conversation avec quelqu’un et lui demander de répéter ce qu’il vient de dire, etc.
Lorsque le praticien accompagne son client pour le faire glisser progressivement vers un EMC, il met en œuvre une technique (appelée technique d’induction). Cela a pour but de faciliter le travail intérieur qui sera fait par la personne elle-même, simplement guidée par les suggestions (verbales) du praticien.
La transe, selon Erickson, est l’état dans lequel l’apprentissage et l’ouverture au changement peuvent se produire le plus aisément. Elle ne relève pas d’un état de sommeil induit. Les patients ne sont pas mis sous influence du thérapeute, ni dépossédés de leur contrôle et placés sous la dépendance d’autrui. La transe, en réalité, est un état naturel que nous avons tous expérimenté. Notre expérience la plus familière en est la rêverie, mais d’autres états de transe peuvent survenir lorsque nous méditons, prions ou effectuons certains exercices (…). En transe, les patients comprennent la signification des symboles et autres expressions de l’inconscient. Ils sont plus proches de ce qu’Erickson appelle « les apprentissages inconscients ». – Sidney Rosen – Ma voix t’accompagnera
Champ d’action de l’hypnose ericksonienne
Le champ d’action de l’hypnose ericksonienne est extrêmement large, et il concerne d’une manière très générale tous les objectifs pour lesquels la personne connaît un « conflit intérieur » entre une partie d’elle-même (plutôt consciente) qui veut changer, et une autre partie d’elle-même (plutôt inconsciente) qui l’empêche d’y parvenir. Ceci exclut bien entendu tous les objectifs visant à guérir une maladie qui relève de la médecine au sens strict, qu’il s’agisse de pathologies physiques (ex : maladie infectieuse, arthrose, insuffisance rénale, etc.) ou mentales (ex : schizophrénie).
Un des cas probablement le plus médiatisé est celui de l’individu qui souhaite arrêter de fumer : une partie de lui a envie d’arrêter de fumer pour plusieurs raisons très importantes pour lui (ex : santé, coût des cigarettes, etc.), mais une autre partie de lui « résiste » et ne lui permet pas d’atteindre son objectif. Ce qui se résume très simplement par la phrase suivante, souvent entendue en consultation : « j’ai envie d’arrêter de fumer, mais je n’y arrive pas ».
Le sevrage tabagique n’est qu’un infime exemple de ce qu’il est possible de faire, lors d’un accompagnement en hypnose ericksonienne.
En effet, d’une manière générale, nous pouvons dire que l’hypnose ericksonienne a déjà attesté de son efficacité pour la réalisation d’objectifs très divers, parmi lesquels on trouve :
– les addictions en général, qu’il s’agisse d’addiciton à une substance (ex : la cocaïne) ou à un comportement (ex : jeux en ligne) ;
– les phobies, quelle qu’en soit la nature et l’origine (ex : chiens, ascenseur, avion, eau, etc.) ;
– les compulsions et TOC (ex : compulsions alimentaires, compulsions d’achats, TOC de décontamination, TOC de vérification, etc.) ;
– la mobilisation de « ressources » (ex : la créativité, la confiance en soi, la persévérance, la concentration, la patience, le détachement émotionnel, l’estime de soi, le pardon, etc.) ;
– les troubles du comportement ciblés (ex : troubles alimentaires, troubles du sommeil, troubles sexuels, etc.) ;
– la prise de décision, quel qu’en soit le domaine (ex : création d’entreprise, séparation sentimentale, déménagement, etc.) ;
– le deuil quel qu’en soit l’objet (ex : une personne, un pays, un métier, etc.) ;
– une multitude d’autres objectifs sans « étiquette » (ex : la remémoration des rêves).
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Ma pratique de l’hypnose ericksonienne
Ma façon de pratiquer l’Hypnose ericksonienne prend appui sur une (ou plusieurs) séance d’une durée assez longue.
En effet, la durée moyenne d’une séance est comprise entre 3 et 4 heures (parfois davantage), de manière à pouvoir approfondir au maximum la phase conversationnelle, au cours de laquelle des changements peuvent déjà s’opérer, puis de réaliser un travail en profondeur sous hypnose. Cela équivaut (en terme de durée) grosso modo à 3 séances standards, telles qu’elles sont pratiquées par la plupart des hypnopraticiens.
Il n’est pas possible de prévoir le nombre de séances nécessaires pour effectuer le travail de changement souhaité dans son intégralité, car chaque personne est unique et évolue à son propre rythme. Cela dépend d’une multitude de facteurs individuels qu’il serait trop long de recenser ici (ex : la nature de l’objectif, la motivation intrinsèque, les éventuels bénéfices secondaires liés à la situation présente, les éventuels facteurs d’inertie, les éventuelles croyances limitantes qu’il faut prendre le temps de désactiver, etc.).
A l’aune de ma pratique, je peux néanmoins affirmer qu’il est tout à fait possible d’atteindre son objectif après une seule séance, telle que je la pratique (séance longue d’une durée comprise entre 3 et 4 heures). Lorsqu’une seule séance ne suffit pas pour atteindre l’objectif à 100%, alors 1 ou 2 séances supplémentaires peuvent s’avérer nécessaires pour finaliser le changement désiré, dans toutes ses composantes.
Je consulte principalement l’après-midi (consultation de 13h à 17h environ) sur rendez-vous,
avec possibilité de séances le weekend et à domicile (sur Paris et très proche banlieue) en cas de besoin.
Prendre RDV
Le délai d’attente pour obtenir un rendez-vous est variable, il peut être de plusieurs semaines (voire plusieurs mois).
Concernant le lieu de consultation, j’aurais le plaisir de vous accueillir :
- dans mon Cabinet, situé dans le 19 ème arrondissement, à 100 mètres du Parc des Buttes Chaumont, à proximité du métro Botzaris ou Place des Fêtes (lignes 7 bis et 11).
Je peux également me déplacer et faire des séances à domicile sur Paris intra-muros et très proche banlieue, moyennant un supplément forfaitaire de tarif de 50 euros TTC.
Mon accompagnement comprend toujours 3 temps minimum :
1. Un entretien téléphonique préalable (impératif) destiné à prendre contact et à vérifier que l’objectif de changement relève bien d’un travail en hypnose ericksonienne.
2. La consultation avec une phase conversationnelle et le travail sous hypnose (d’une durée totale comprise entre 3 et 4 heures).
3. Le suivi après la séance (téléphone, mails, sms), permettant de faire le point, d’apprécier les changements en cours et d’envisager l’éventuelle poursuite de l’accompagnement.
… auxquels s’ajoute parfois un travail écrit préparatoire proposé lors de l’entretien téléphonique préalable : celui-ci doit permettre à la personne, si elle le souhaite uniquement, de mener une première réflexion sur son objectif de changement (en le formulant de trois manières différentes, mais complémentaires) ainsi que sur les ressources (capacités, compétences, qualités, croyances positives, etc.) à mobiliser pour y parvenir de la meilleure manière possible.
Le tarif annoncé ci-dessous prend en compte l’intégralité de ces modalités d’accompagnement. Seuls les règlements par virement, chèque bancaire ou espèces, sont acceptés.
Tarif pour une consultation hors « arrêt du tabac ».
Au Cabinet – Près du Parc des Buttes Chaumont.
Durée de 4 heures environ.
350 euros TTC.
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Tarif pour une consultation « arrêt du tabac »
Au Cabinet – Près du Parc des Buttes Chaumont.
Protocole spécifique exclusif, individualisé, qui nécessite,
une prescription de tâches pré-consultation (un questionnaire), avec un travail préparatoire de plusieurs heures (pour moi).
Durée de 3 heures environ.
500 euros TTC.
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L’avenir, ce n’est pas ce qui va arriver,
c’est ce que nous allons faire.
Gaston Bachelard